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. Conformément à la tradition, BMW ne bouscule pas trop les habitudes lors du lifting de son modèle. Il s’agira d’avoir l’œil fin pour repérer une Série 6 modèle 2015 d’un modèle antérieur. A bien y regarder, on relève tout de même un double haricot de calandre légèrement retravaillé, ainsi que des pare-chocs remodelés. Pointons également les phares LED désormais livrés de série ! Plantureuse S’étalant sur plus de cinq mètres de long, la Série 6 Gran Coupé fait partie de ces paquebots automobiles, se situant à une dizaine de centimètres seulement d’une Mercedes Classe S. Pourtant, en dépit de ces plantureuses mensurations, cette Gran Coupé reste équilibrée et surtout, délicieusement sportive. Son nez aquilin semble renâcler le bitume et ses hanches musclées suggèrent un lourd armement sous le capot ! Dans l’habitacle Du luxe, on veut du luxe ! Et ça tombe bien, BMW en sert à la pelle… Cuir des sièges profond, Alcantara sur le ciel de toit, immense écran multimédia haute-fidélité, équipement pléthorique, ambiance cocoon, cette Série 6 Gran Coupé possède un habitacle digne d’un espace lounge » moderne. Tout cela, évidemment, se paye rubis sur ongle et, contrairement à ce que les mensurations pouvaient laisser espérer, l’espace à bord n’est pas aussi généreux que prévu. A l’arrière, les passagers profitent d’une ambiance cosy, mais l’habitabilité n’est pas tout à fait comparable à celle d’une authentique limousine. On vous le rappelle dans le patronyme, il y a certes Gran », mais surtout Coupé » ! Tout est possible Grâce au département Individual », absolument tout est possible en terme de personnalisation. Du côté de l’équipement, cette Série 6 affiche le grand complet, en ce compris un nouveau détecteur d’obstacle, désormais livré de série. On applaudit également le système d’info-divertissement, comprenant la connexion Internet, un service conciergerie, une multitude d’applications… En revanche, n’en attendez pas de service MirrorLink » pouvant refléter l’écran de votre smartphone sur celui de votre automobile. Tradition maison A force de nous gaver de 3 et 4 cylindres turbos, on finit par oublier que la spécialité de BMW, c’est tout de même le 6 cylindres en ligne ! Alors même si celui-ci carbure au mazout, il n’en est pas moins un fier représentant. Cubant 3 litres de cylindrée, il promet une puissance de 313 chevaux pour un couple de 630 Nm ! Il est ici accouplé à une splendide boîte automatique à 8 rapports. Unique moteur diesel proposé, ce groupe fait preuve d’une vigueur absolument épatante. Peu importe le régime ou le rapport engagé, la moindre petite chatouille du pied droit vous propulse droit en avant, en vous massant vigoureusement le dos et en expédiant l’aiguille du compte-tours dans la boîte à gant ! Le tout est livré avec une bande-son assez plaisante de six cylindres en ligne. De l’extérieur, en revanche, ça sonne un peu comme un gros tracteur… Lourde, mais agile… Allez, on vous l’avoue sans introduction, la Série 6 est plus un paquebot de mer qu’un Speed-Boat » de petits cours d’eau. Flottant gentiment au gré des ondulations, la Série 6 se savoure finalement surtout sur les modes Comfort » et Comfort + » où sa suspension tente d’effacer les irrégularités. Non, vous n’obtiendrez pas l’effet tapis volant » d’une Mercedes Classe S, mais le confort prodigué est de haut niveau. Pour une escalade de route de montagne, les modes Sport » et Sport + » sont nettement plus indiqués, car ils endiguent autant que possible les mouvements de caisse, au prix d’une plus grande fermeté. Toutefois, si le comportement est équilibré, que la motricité est optimale xDrive et qu’il est effectivement possible de larguer quelques GTI sur ce genre de route grâce aux monstrueuses réserves de la mécanique, l’inertie d’un tel paquebot finit par se faire ressentir au freinage et dans les virages serrés lorsque le rythme devient vraiment élevé. En conduite souple, mais rapide, la Série 6 fait cependant oublier son poids et entretient l’illusion. Budget Des mauvaises nouvelles, il y en a quelques-unes ici… A €, la 640d xDrive Gran Coupé n’est certes pas à la portée de toutes les bourses ! D’autant que vous aurez certainement envie de différencier votre monture par quelques petits détails, comme une peinture matte, un intérieur sur-mesure et des jantes démesurées. A ce petit jeu-là , la note finale grimpe vers des sommets, car le prix des options est tout aussi germanique que le badge. Notre exemplaire était, par exemple, affiché à plus de € ! Une bonne nouvelle pourtant le 6 cylindres fait preuve d’une remarquable frugalité, avec une consommation moyenne de 8,3 l/100 km. Conclusion Plus sportive qu’une Mercedes Classe S, mais plus pratique qu’une Classe S Coupé, cette Série 6 Gran Coupé se trouve sur une niche encore relativement inexploitée. Moins flamboyante qu’une Maserati Quattroporte, elle devrait en effet conquérir les amateurs de limousines confortables, mais qui ne veulent toutefois pas sacrifier le plaisir de conduire sur l’autel du confort. Un compromis intéressant, que ce facelift se garde bien de modifier dans un sens ou dans un autre…
Your browser is not up to date and may not be compatible with our plaisir de conduire GÉNÉREUSE. INNOVANTE DANS LES MOINDRES DÉTAILS. Comme à lʼextérieur, lʼintérieur de la toute première BMW Série 4 Gran Coupé propose un savant mélange d’élégance et de fonctionnalité. Cela se voit en particulier dans le choix de matériaux et de teintes exclusifs, ainsi que dans l’orientation systématique vers le conducteur. Tous les éléments de commande et toutes les fonctions de conduite essentielles sont exactement là où l’on s’attend à les trouver et les détails diffusent un sentiment de luxe et de vitalité. Les portes sans encadrement augmentent visuellement l’espace dans l’habitacle de la BMW Série 4 Gran Coupé ; la banquette arrière propose 2+1 places avec une garde au toit et un espace aux jambes confortables. Dans le même temps, le dessin enveloppant des sièges arrière confère une sensation harmonieuse dʼespace et de INNOVANTE DANS LES MOINDRES design intérieur de la BMW Série 4 Gran à lʼextérieur, lʼintérieur de la toute première BMW Série 4 Gran Coupé propose un savant mélange d’élégance et de fonctionnalité. Cela se voit en particulier dans le choix de matériaux et de teintes exclusifs, ainsi que dans l’orientation systématique vers le conducteur. Tous les éléments de commande et toutes les fonctions de conduite essentielles sont exactement là où l’on s’attend à les trouver et les détails diffusent un sentiment de luxe et de vitalité. Les portes sans encadrement augmentent visuellement l’espace dans l’habitacle de la BMW Série 4 Gran Coupé ; la banquette arrière propose 2+1 places avec une garde au toit et un espace aux jambes confortables. Dans le même temps, le dessin enveloppant des sièges arrière confère une sensation harmonieuse dʼespace et de plus UN CONFORT ÉTENDU. Découvrez les atouts fonctionnels de la BMW Série 4 Gran Coupé. UN CONFORT ÉTENDU. Découvrez les atouts fonctionnels de la BMW Série 4 Gran Coupé. UN HABITACLE ORIENTÉ VERS LE CONDUCTEUR. Tournée vers vous et vos exigences À votre service, avec une planche de bord clairement agencée et une console centrale légèrement inclinée vers le conducteur assis au volant de la BMW Série 4 Gran Coupé, vous avez d’emblée la sensation d’être au centre de l’attention. Tous les éléments de commande et toutes les fonctions de conduite essentielles sont exactement là où l’on s’attend à les trouver. L’écran de contrôle occupe une position optimale dans votre champ de vision. L’Affichage Tête Haute HUD en option améliore par ailleurs le confort de conduite en projetant les informations de conduite directement dans votre champ de vision ; votre regard reste ainsi concentré sur la le film FORMES EXPRESSIVES. Les lignes convergent dans un mouvement fluide et les surfaces se fondent les unes dans les autres, offrant au conducteur un accès optimal aux différentes zones fonctionnelles. C’est dans cette interaction harmonieuse que se dévoile le tempérament exclusif de la voiture. Dynamisme impressionnant, élégance moderne et fonctionnalité remarquable, toutes ces caractéristiques viennent à lʼesprit quand vous posez le regard sur lʼintérieur de la voiture. MATÉRIAUX ET TOUCHER. Finition haut de gamme, toucher agréable et sélection inspirée des teintes et matériaux caractérisent l’atmosphère exceptionnelle régnant dans l’habitacle. Des sièges en cuir Blanc Ivoire sont proposés en exclusivité pour la BMW Série 4 Gran Coupé en combinaison avec les finitions Luxury et M Sport. Ils apportent une touche lumineuse au sein d’un univers intérieur dominé de noir et mettent en valeur la sportivité élégante de la BMW Série 4 Gran Coupé. LA FONCTIONNALITÉ À SON MAXIMUM. LA BANQUETTE ARRIÈRE 2+ banquette arrière 2+1 deux sièges aux contours marqués exclusifs avec appuis-tête réglables en hauteur offrent un haut niveau de confort et laissent assez de place pour un troisième passager à lʼarrière de la BMW Série 4 Gran Coupé. Voir plus BANQUETTE ARRIÈRE FRACTIONNABLE 40/20/ fractionnement optionnel de la banquette arrière dans les proportions 40/20/40 offre une grande modularité en termes de transport. Un sac à skis et à snowboards adapté est disponible parmi les Accessoires dʼOrigine plus 1 300 LITRES DʼESPACE DE 1 300 litres, la BMW Série 4 Gran Coupé offre une capacité de chargement maximale pour répondre à tous vos besoins. Voir plus Navigateur obsolète Vous utilisez une version obsolète your Browser. Ce site est optimisé pour your Browser versions unknwonet plus. Se mettre à jour your Browser
L'image ne reflète pas forcément le modèle présenté sur cette page Statistiques fiabilité 640d 313 appuyées sur les 6 avis postés par les internautes. Ces données sont issues des 6 avis posté ayant tous les termes suivants dans le champs description du modèle "640d+313" Casse Moteur Boîte de vitesses Vanne EGR Catalyseur Filtre à Particules Adblue 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 Volant Moteur Embrayage Injection Turbo Damper 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 Joint de Culasse Culasse Conso. Huile Distribution Alternateur Allumage 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 Démarreur Echangeur / refroid. Pompe à Eau Pompe à huile Sonde / capteur 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 Segmentation AAC Dephaseur Soupapes Bielle Collecteur 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 0/6 Fiabilité plus de chiffres et de données en cliquant ici >> Avis Serie 6 Gran Coupe 640d 313 ch Diesel les plus completsTri par ordre de longueur de l'avis Synthèse de vos avis sur ce moteur Qualités et défauts Serie 6 Gran Coupe signalés par les internautes via les 6 avis postés Parmi les essais de la BMW Serie 6 Gran Coupe effectués par les internautes, certains mots clés qui ressortent permettent de faire une synthèse sur certains aspects que vous avez appréciés ou non. Pour plus de détails veuillez consulter les avis de la Serie 6 Gran Coupe. Comportement routier 3 aiment Agrément 1 aime 2 n'aiment pas Confort global 2 aiment Finition / qualité des plastiques 4 aiment 1 n'aime pas Vieillissement des plastiques 1 aime Habitabilité 2 n'aiment pas Volume de coffre 1 n'aime pas Consommation 1 aime Style 4 aiment 1 n'aime pas Vieillissement du style 1 aime 1 n'aime pas Equipement 1 n'aime pas Poids 1 aime Eclairage 1 aime Fiabilité 2 aiment Assurance Serie 6 Gran Coupe 640d 313 ch Contrat Bonus / Malus Prix payé Assureur Tout risque 30 1300 €/an Allianz TR 50 780 €/an NC Tous les autres tarifs d'assureurs indiqués par les internautes sur la Serie 6 Gran Coupe >> Consommation Serie 6 Gran Coupe 640d 313 ch Consommation du 640d 313 ch DERNIERS témoignages 9 L en moyenne 640d 313 chJe fais entre 8l et 9l en conduite calme. si l’on appuie on est au alentours des 11 voir 12 l en mode sport 640d 313 ch à 11L/100 640d 313 ch Exclusive individual 2016 avec 84000km8 /100km 640d 313 ch automatique,neuve,2017,20 pouces, M sport,2018 litres/100km 640d 313 ch 55000 Km 2012 Grancoupé exclusive Tous les autres moteurs et consommations sur la Serie 6 Gran Coupe ... >> Concurrentes des Serie 6 Gran Coupe 640d 313 ch Modèle Poids ~ Couple Boîte Vmax 0 à 100 Serie 3 GT 335d 313 ch 1 avis t 600 Nm Auto 8 250 km/h s A6 TDI 313 ch 11 avis t 650 Nm Auto 8 250 km/h s A7 TDI 313 ch 9 avis t 650 Nm Auto 8 250 km/h s Toutes les autres performances automobiles >>
En bref Berline coupé issue de la Série 1 Moteur essence trois cylindres de 140 ch À partir de 31 150 euros Quand une marque innove et rencontre le succès, tous ses concurrents s’empressent généralement de lui emboîter le pas. Et pourtant, lorsque Mercedes a lancé en 2013 sa CLA, la version tri corps et coupé berline de sa compacte Classe A, BMW n’a pas bougé. Seul Audi a suivi le courant avec son A3 berline qui est en plein renouvellement, dans une version essence 150 ch affublée, qui plus est, d'une micro-hybridation 48V. Ces autos sont loin d’être des flops, là ou tous les spécialistes leur prédisait un désastre. Pensez donc une berline, c’est tellement ringard et personne ne jure plus que par les SUV. Sauf que le premium n’en a pas fini avec les bonnes vieilles autos à coffre, et que la bonne idée signée Mercedes et Audi, consistait à offrir une auto statutaire moins chère, car basée sur leur compacte. La marque à l'hélice débarque sur le segment 7 ans après les autres 7 ans plus tard, BMW a fini par s’aligner sur ses rivales au début de cette année et l’arrivée sur le marché, juste avant le confinement, de cette Série 2 Gran Coupé. Un lancement dont nous vous avions entretenu à l’occasion de l’essai de la version 220D qui, avec les 216D et 218D constitue l’offre diesel du modèle. Mais étrangement, au lancement, deux moteurs essence seulement se logeaient également sous le capot de cette berline la sportive 231i de 306 ch et la beaucoup moins puissante 218i de 140 ch. Heureusement, une troisième motorisation vient se greffer au milieu de ce troupeau de sans-plomb. Il s’agit du 4 cylindres 220i de 178 ch. Il entrera en production au mois de novembre. En attendant, nous avons pris le volant du petit 140 ch. L’entrée de gamme suffirait-elle à combler les amateurs de sportivité mesurée ? En attendant de le savoir, petit tour du propriétaire d’un coupé qui n’en est pas un, et d’une berline qui n’en est pas tout à fait une. Comme il se doit cette berline coupé bénéficie de portières sans cette Gran Coupé répond aux règles désormais éprouvées de la berline coupé un profil arrière plus horizontal que les tri corps habituelles et l'absence de montants aux portières censée donner une allure sportive à l'affaire. Mais, malgré cette allure et le fait qu'elle descende en droite ligne de la compacte Série 1, elle a l'air grande cette petite berline. Et pourtant, avec 4,53 m elle est plus courte que ses principales rivales, les Mercedes CLA et l'Audi A4 berline. Cette impression d'avoir affaire à une auto plus longue qu'elle n'en a l'air n'est pas liée à sa hauteur de 1,42 m de haut, à peine 1 cm de moins que la Série 1 dont elle dérive. Ce sentiment de grandeur est plutôt lié au style général qui, même s'il ne risque pas de remporter le Nobel du design et se contente du prix très franco-français de plus belle voiture de l'année, a au moins le mérite de lui donner cet effet de rallonge. Une rallonge elle mesure 20 cm de plus que sa petite sœur qui permet de voir son coffre gonfler. Il voit sa contenance progresser de 50 l par rapport à la Série 1 et culminer à 460 l. De quoi caser les bagages des occupants. Mais s'ils sont grands et assis à l'arrière, ils risquent de voyager dans de plus mauvaises conditions que leurs malles, puisqu'ils passeront leur excursion pliés en deux en raison d'une garde au toit ultra-basse aux places arrière. Une ergonomie parfaite, comme d'habitude La planche de bord est identique à celle de la Série l'avant, évidemment, les occupants sont bien mieux traités, surtout le conducteur. Les commandes, logiquement semblables à celles de la Série 1 sont dirigées vers lui. Le bon vieux piano BMW et son ergonomie remarquable placent les différentes touches sous les doigts du conducteur sans qu'il n'ait besoin de se déconcentrer. Une science de l'ergonomie dans laquelle le Bavarois excelle, même si c'est parfois au détriment de l'esthétique. Devant ce conducteur, le tableau de bord est numérique et l'écran multimédia s'étale sur 10 pouces. il est digital, mais, selon la finition, il peut également être commandé d'un geste de la main sans même toucher l'écran, pour augmenter le son ou changer de musique. C'est une technologie parfaitement inutile, mais qui a le mérite d'épater les passagers. En prime, cette planche de bord, comme l'ensemble de l'habitacle, est parfaitement assemblée, avec des matériaux au top. La trop petite garde au toit des places arrière interdit cette Gran Coupé aux une fois posées les qualités et les défauts ergonomiques et pratiques de cette auto, il est temps de vérifier ce qui, finalement, justifie encore et toujours l'achat d'une BMW le plaisir de conduire. Sauf que sur le papier, il n'est pas au rendez-vous. C'est une traction et si l'on y ajoute les données de ce moteur de ce modèle d'entrée de gamme on trouve le portrait-robot d'un épouvantail à même de faire fuir les amateurs. 3 cylindres, 1,5 l, et 140 ch la messe est dite. Avant de partir en courant, prenons néanmoins le volant. Bon d'accord, la finition de ce modèle d'essai est siglée "M Sport". Mais des sigles ici et là , une sortie d'échappement, un volant et des sièges spécifiques ne font pas plus le bolide qu'une hirondelle n'amène les beaux jours. La suspension pilotée "direct drive" et la boîte auto double embrayage Steptronic 7 rapports made in Getrag ? C'est déjà mieux. Et de s'apercevoir rapidement que non seulement l'ensemble est cohérent, mais qu'il redonne le sourire aux pessimistes qui pensaient que cet attelage n'était pas digne de Munich. Comme Kirikou, ce moteur n'est pas grand, mais il est vaillant Car si ce bloc se fait tout petit, il est plein de bonne volonté. À l'image de Kirikou, le personnage du dessin animé de Michel Ocelot, "il n'est pas grand, mais il est vaillant". Ses 140 ch répondent présents, grâce au couple de 220 Nm déployé dès les premiers tr/minutes. Le moteur grimpe gentiment dans les tours sans se faire prier,. Et même si les accélérations sont forcément limitées par la puissance de l'engin et les 1 375 kg de l'auto, cette Série 2 s'offre un 0/100 km/h en 8,7s. Rien de démentiel bien sûr, mais rien non plus de rédhibitoire. De plus, le travail effectué sur l'acoustique du moteur rajoute un plaisir déjà réel même sans cette mélodie. Côté suspension en revanche, l'on est en droit de se poser la question de l'utilité de sa sophistication. En mode "confort" elle offre un compromis assez parfait, mais en poussant le bouton jusqu'au mode "sport", la voiture et ses passagers subissent des trépidations parfaitement inutiles. Les liaisons au sol n'en sont pas dégradées et la voiture ne rebondit pas sur la route, mais la sécheresse de ce mode le rend plutôt antipathique. La boîte robotisée 8 rapports d'origine Getrag est parfaitement adaptée à ce petit tradition maison est donc respectée le plaisir est compris dans le prix de vente élevé, même si les 140 ch de l'auto montrent vite leurs limites. En prime, ses 111g l'exonèrent de malus et sa conso ne dépasse pas les 7 l, même sans se traîner dans les méandres de l'écoconduite. Évidemment, l'abandon de la propulsion sur les petits modèles de la marque constituera à jamais un crève-cœur, mais cette Série 2 enroule les virages et l'on attend toujours impatiemment le suivant à son volant dont le maniement et la justesse de direction restent de très haut niveau.
Pour 2022, la BMW Série 2 Coupé a subi un remodelage esthétique, accompagné d’ajouts technologiques et d’itérations mécaniques. Celle qui sert d’entrée de gamme au catalogue automobile canadien de la marque bavaroise se décline aussi en berline configuration que l’on appelle Gran Coupé chez BMW, mais celle-ci diverge considérablement du Coupé sur le plan technique. D’une part, au-delà de compter deux portières additionnelles, la petite berline est assise sur une plate-forme à roues motrices lire aussi Pénurie de puces plusieurs BMW seront fabriqués sans écran tactileÀ lire aussi BMW Série 2 Coupé 2022 cinq choses à savoir La Série 2 Coupé, elle, use d’une architecture à propulsion, laquelle est généralement garante de sportivité. Deux variantes seront initialement commercialisées, soit la M240i, sujet de cet essai, qui est équipée du rouage intégral xDrive et d’un six cylindres turbocompressé qui développe 382 chevaux. Plus tard, nous aurons droit à la 230i à roues motrices arrière, alimentée par un quatre cylindres turbocompressé de 255 chevaux. Au moment d’écrire ces lignes, nous n’avons pas de détails sur la nouvelle M2. Le Guide de l’auto s’est rendu dans la région de Thermal en Californie pour faire l’essai de cette Série 2 Coupé 2022. Une calandre plus raisonnable Au premier regard, on remarque que la BMW de Série 2 Coupé a été épargnée par le design controversé de la calandre qui a récemment touché certains modèles de la marque. Ce qui, selon les préférences, peut constituer un avantage en soi. Elle a pris du gabarit, cette Série 2, en gagnant 88 mm en longueur et 66 mm en largeur. Ces nouvelles dimensions lui confèrent pratiquement la même longueur qu’une ancienne Série 3 E46 du début du millénaire, mais avec plusieurs centaines de millimètres additionnels en largeur. Ces dimensions bonifiées se traduisent par une présence plus costaude que la génération sortante, en plus de rendre cette voiture d’entrée de gamme plus attrayante physiquement. Photo Louis-Philippe Dubé Même si le modèle M240i porte la lettre M, elle n’est pas la plus agressive de la série. On y retrouve certains éléments sportifs dignes de la gamme M sans pour autant offrir toute la sauce. Il faudra attendre la nouvelle M2 pour cela. De fait, notre cobaye arborait notamment plusieurs appliques extérieures comme un becquet arrière, un ensemble aérodynamique, ainsi que des freins et des jantes de 19 pouces. Ces éléments arborent tous la lettre M. Étriquée dans son antre Malgré ses dimensions extérieures améliorées, la BMW Série 2 paraît toujours étriquée à l’intérieur. Son habitacle est petit et l’accès à sa banquette arrière est difficile. Par contre, une fois que l’on est à son volant, la M240i fournit une bonne position de conduite. Côté ergonomie, la planche de bord semble avoir été pensée au millimètre près. Les commandes sont légèrement inclinées vers le conducteur et sont ficelées d’un amalgame de matériaux simples, mais de grande qualité. Le système d’infodivertissement se présente en toute intuitivité sur un écran d’une luminosité limpide. En revanche, on aime moins les commandes de ventilation qui sont curieusement difficiles à moduler. Photo Louis-Philippe Dubé La fougue est toujours de la partie Mécaniquement, la nouvelle M240i abrite toujours le six cylindres en ligne turbocompressé de 3,0 litres. Mais celui-ci déballe dorénavant une cavalerie de 382 chevaux et un couple de 369 lb-pi. Cette motorisation est arrimée à une boîte automatique à huit vitesses qui alimente le rouage intégral xDrive. Cette variante comprend également un différentiel arrière M Sport. Hélas, la transmission manuelle n’est pas revenue. Comparativement à la génération sortante, cette M240i libère 47 chevaux additionnels qui se ressentent dans la livraison de la puissance tout au long de la plage. La boîte à huit rapports ne montre aucune hésitation, et le confort demeure. Si l’on passe en mode Sport, la couleur rouge domine le bloc d’instruments pouces et ces changements sont plus brusques, mais ô combien rapides. Les palettes de changement de vitesse en acier inoxydable agrémentent évidemment l’expérience et consolent vaguement les fervents de la troisième pédale. Photo Louis-Philippe Dubé En déplacements quotidiens, la M240i pourra vous sembler plutôt élémentaire au chapitre du confort de roulement, même avec sa suspension adaptative améliorée et le mode Confort activé. Or, empruntez un premier virage par son point de corde bien défini et cette petite déception laissera place à l’extase pendant que vous vous faufilez avec grande précision et adhérence vers l’horizon. Et si vous vous mettez dans le pétrin dans le processus, les freins de la M240i sont à la hauteur des ambitions des meilleurs et pires conducteurs. La Série 2 Coupé peut se vanter d’être une voiture d’entrée de gamme avec un tapis rouge, surtout dans sa variante M240i xDrive. Hormis son confort basique, son habitacle peu logeable et le fait que sa boîte manuelle n’est plus, cette sportive est fort généreuse au chapitre de la sportivité, surtout avec son prix de départ de 56 950 $ qui appâtera les amateurs de sensations fortes. En vidéo notre essai de la BMW i4 2022
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