barrede chocolat laitta; maison Ă  vendre douarnenez particulier; jean serf frĂšre de barbara; cold war comment jouer contre les bots; ghazghkull thraka old model; carte fidĂ©litĂ© truffaut wallet; Ù†ÛŒÙ…Ű§ ÛŒÙˆŰŽÛŒŰŹ ÚŻÙ†ŰŹÙˆŰ± ; planche 200x40 brico dĂ©pĂŽt; villa saint gilles les bains; through the darkness drama cast mon employeur me dit de ne pas venir travailler Mepatron m'ordonne de rester chez moi ! Par bobi147, le 17/11/2011 Ă  15:47 Bonjour Ă  tous, J'ai signĂ© un contrat de deux mois dans une sociĂ©tĂ©. Aujourd'hui mon patron m'as patron ma demander de :" me casser et de ne plus revenir "devant pas mal de personnes ! Je vous Ă©pargne les insultes Je suis censĂ©e ĂȘtre la bas Ă  6 heures demain mais je ne sais pas Bonjour Suite Ă  un arrĂȘt maladie de 113 jours, clavicule cassĂ©e, le jour de ma reprise de travail mon employeur m’a annoncĂ© qu’il ne souhaitait pas que je reprenne mon poste de travail et qu’il n’avait plus de travail Ă  me proposer. Il m’a donc demandĂ© de signer une rupture conventionnelle que j’ai refusĂ© il m’a donc demandĂ© de rentrer chez moi tout en me EnrĂ©sumĂ© mon employeur m'oblige Ă  rester Ă  la maison du 28-06-2018 et cela jusqu'au 14-08-2018. Et je m'aperçois que sur le salaire de juin 2018 on me dĂ©duit deux semaines d'absence. Pour la 1Ăšre semaine d'absence OK mais la deuxiĂšme ? Ma question est comment doivent ĂȘtre les heures du 28-06-2018 au 14-08-2018 date de la fin de mon contrat Varanereconnait avoir discutĂ© avec Casemiro « Il n'avait pas besoin de moi pour le convaincre de venir ici, mais Ă©videmment j'ai parlĂ© avec lui.Il a Carpas de boulot ce soir du coup j'attend ma mĂšre pour qu'elle vienne me chercher - Topic Mon employeur ma dit de rentre chez moi du 08-07-2018 01:50:02 sur les forums de jeuxvideo.com . Je viens d’avoir une retention de permis de conduire en conduisant mon vehicule personnel, etant chauffeur livreur en cdi mon employeur m’a dit par sms, un apres midi alors que j’etais au travail, de rester chez moi les jours suivants. Je peux tout a fait me rendre sur mon lieu de travail, et travailler en doublon avec un collegue, ce que je fais depuis plusieurs mois car mon role est de remplacer mes collegues s’ils sont amenĂ©s a etre absents. Mon employeur a t il le droit de me demander de rester chez moi? Merci d’avance pour votre reponse. PostĂ© Il y a 2 ans RĂ©ponses 1 Bonjour, Votre permis Ă©tant nĂ©cessaire pour l’exĂ©cution de votre travail, vous ne pouviez pas l’exĂ©cuter pendant la rĂ©tention de votre permis. VĂ©rifiez les clauses de votre contrat de travail, il existe peut ĂȘtre une clause sur la rĂ©tention du permis et les consĂ©quences. Mais si votre travail consiste uniquement Ă  la conduite, votre employeur pouvait vous demander de rester chez vous pendant la rĂ©tention. J’espĂšre vous avoir aidĂ© et n’hĂ©sitez pas Ă  nous recontacter si vous avez d’autres questions ! a rĂ©pondu Il y a 2 ans Les salariĂ©s du BTP sont trĂšs souvent exposĂ©s aux intempĂ©ries, par exemple en cas de fortes pluies, grand froid ou canicule. Des dispositions particuliĂšres du code du travail leur permettent alors de stopper le travail et de bĂ©nĂ©ficier d’une indemnisation. Qu’entend-t-on par intempĂ©ries ? Sont considĂ©rĂ©es comme intempĂ©ries, les conditions atmosphĂ©riques et les inondations lorsqu’elles rendent dangereux ou impossible l’accomplissement du travail eu Ă©gard soit Ă  la santĂ© ou Ă  la sĂ©curitĂ© des salariĂ©s, soit Ă  la nature ou Ă  la technique du travail Ă  accomplir » article L5424-8 du code du travail. Il ne suffit pas qu’il neige ou qu’il y ait du verglas, il faut que les intempĂ©ries rendent le travail impossible ou dangereux. Qui dĂ©cide d’arrĂȘter le travail en cas d’intempĂ©ries ? En cas d’intempĂ©ries, l’arrĂȘt du travail est dĂ©cidĂ© par l’entrepreneur ou par son reprĂ©sentant sur le chantier aprĂšs consultation des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel article L5424-9. Quelle est l’indemnisation versĂ©e aux salariĂ©s ? Les salariĂ©s bĂ©nĂ©ficient alors de l’indemnisation pour intempĂ©ries, quels que soient le montant et la nature de leur rĂ©munĂ©ration article L5424-10 Ă  condition de justifier avoir accompli avant l’arrĂȘt du travail un nombre minimum d’heures de travail durant une pĂ©riode dĂ©terminĂ©e dans une entreprise du bĂątiment ou des travaux publics article L5424-11. L’indemnitĂ© journaliĂšre d’intempĂ©ries est due pour chaque heure perdue aprĂšs expiration d’un dĂ©lai de carence fixĂ© par dĂ©cret. Ce dĂ©cret dĂ©termine Ă©galement 1° La limite d’indemnisation des heures perdues en fonction du salaire affĂ©rent Ă  ces heures ; 2° Le nombre maximum des indemnitĂ©s journaliĂšres susceptibles d’ĂȘtre attribuĂ©es au cours d’une annĂ©e civile article L5424-12. L’article L5424-13 prĂ©cise L’indemnitĂ© journaliĂšre d’intempĂ©ries est versĂ©e au salariĂ© par son entreprise Ă  l’échĂ©ance normale de la paie dans les mĂȘmes conditions que cette derniĂšre. Elle n’est pas due au salariĂ© momentanĂ©ment inapte. Elle ne se cumule pas avec les indemnitĂ©s journaliĂšres d’accident du travail, de maladie, des assurances sociales et de congĂ©s payĂ©s. Elle est exclusive de toute indemnitĂ© de chĂŽmage. Elle cesse d’ĂȘtre due dans le cas oĂč le salariĂ© exerce une autre activitĂ© salariĂ©e pendant la pĂ©riode d’arrĂȘt du travail ». L’indemnitĂ© est versĂ©e dans la limite de 75% du salaire horaire X nombre d’heures indemnisables. Pour des explications dĂ©taillĂ©es, voir le site CongĂ©s intempĂ©ries BTP. Tout d'abord, merci encore une fois pour le temps consacrĂ© Ă  me lire et Ă  me rĂ©pondre, Crystal. Je viens d'aller sur le site que tu m'as indiquĂ© Ă  Marseille et j'ai pu y lire quelques tĂ©moignages et voir la façon de procĂ©der des harceleurs. Mon employeur n'a pas de paroles blessantes Ă  mon Ă©gard, si je suis plus renfermĂ©e, il fait au contraire des efforts considĂ©rables pour dialoguer ; il ne m'humilie pas en dĂ©valorisant tout ce que je fais bien qu'il ne me valorise plus, d'ailleurs, quand je pense qu'il fait une "boulette" par manque de temps, je le lui fais savoir, ce qui n'est guĂšre coutumier pour une secrĂ©taire. Bref, je dis ce que j'ai Ă  dire et mĂȘme si on ne me le demande pas, je fais savoir que je n'approuve pas le mode de gestion j'ai en plus misĂšre, le sens de la dĂ©ontologie et une capacitĂ© Ă  l'empathie, heureusement ou malheureusement. Je crois pouvoir dire que mon franc parler l'incommode souvent, mais, je crois que, dans ce sens, je suis malgrĂ© tout, relativement respectĂ©e, car je suis une nana droite. Je n'ai pas connu de fois oĂč il ne me parlait pas, quoique, dĂšs que je parle d'augmentation, il a tout Ă  coup... une visite urgente Ă  faire Ă  domicile !!! donc j'attends le moment favorable pour rĂ©itĂ©rer ma demande souvent au retour des congĂ©s, quand il est zen et qu'on a moins de boulot...et lĂ , ça passe tout seul tu vois, je fais un peu de psycho...de base !!!!Sur un autre point, je n'ai jamais eu la moindre critique concernant mon physique, bien au contraire, c'est Ă  croire que le vieux grigou est sacrĂ©ment observateur vous avez un nouveau chemisier, vous n'avez pas maigri vous, vous avez de belles jambes, le rouge vous sied Ă  merveille, etc.... Je n'ai pas le sentiment d'avoir subi des brimades et je n'ai jamais Ă©tĂ© menaçÚe de licenciement pour tout te dire, je crois connaĂźtre trĂšs bien mon boulot, les personnalitĂ©s des 2 toubibs, leurs point-forts, leurs faiblesses et donc je sais trĂšs bien gĂ©rer cette sauce, alors que ma collĂšgue n'a toujours pas intĂ©grĂ© un bon nombre de choses. Et ça aussi, ils le savent. Je crois que j'aime les gens, c'est pour ça que je fais ce mĂ©tier, la paperasse ne m'intĂ©resse pas plus que ça, mais je gĂšre trĂšs bien tout ça. J'aime les gens, MAIS PAS POUR LE FRIC QU'ILS ME RAPPORTENT, contrairement Ă  la plupart des mĂ©decins d'aujourd'hui ! Je suis persuadĂ©e d'ĂȘtre la seule Ă  voir mon patron comme il est, je crois que je l'ai bien cernĂ©, qu'il le sait et que ça l'emmerde. Parfois, il me dit "vous ne me connaissez pas", je crois qu'il voudrait que je le connaisse...autrement... Ceci Ă©tant, je reste vigilante, ne t'en fais pas et j'ai l'adresse de l'asso dans mes favoris. Pour l'inspection du travail, je m'y Ă©tais rendue une fois et j'avais Ă©tĂ© dĂ©pitĂ©e car en les Ă©coutant, j'ai surtout eu le sentiment que les patrons avaient le droit de tout faire ou presque malgrĂ© les termes d'in contrat et que moi j'avais surtout le droit de fermer ma gueule, mais bon, je ne suis peut ĂȘtre pas tombĂ©e sur quelqu'un de compĂ©tent ou pas suffisamment au courant, simplement. En tous cas, merci de tes conseils et je te tiens, enfin, vous tiens au courant. Cordialement. Le licenciement verbal, faute de motif consignĂ© par Ă©crit, est nĂ©cessairement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse, sachant qu’il est impossible de le rĂ©gulariser a posteriori. Juridiquement, les choses sont clairement posĂ©es par la chambre sociale de la Cour de cassation et ce, depuis de nombreuses annĂ©es dĂ©jĂ . Mais force est de constater que dans les faits, l’apprĂ©hension des situations n’est pas aussi simple
 Un employeur qui souhaite rompre le contrat de travail d’un de ses collaborateurs doit se conformer Ă  une procĂ©dure bien particuliĂšre, Ă©dictĂ©e par le Code du Travail, et parfois mĂȘme par des dispositions conventionnelles. Ainsi, celui-ci doit-il indiquer dans la lettre de licenciement les motifs du licenciement, conformĂ©ment Ă  l’article L. 1232-6 du Code du travail qui dispose Lorsque l’employeur dĂ©cide de licencier un salariĂ©, il lui notifie sa dĂ©cision par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception. Cette lettre comporte l’énoncĂ© du ou des motifs invoquĂ©s par l’employeur [...] ». La lettre de licenciement fixe, en effet, les limites du litige et c’est au regard des motifs Ă©noncĂ©s dans la lettre que s’apprĂ©cie le bien-fondĂ© de la mesure Cass. Soc., 4 juill. 2012, pourvoi n° Ainsi, le dĂ©faut total d’énonciation des motifs ou l’imprĂ©cision des motifs invoquĂ©s Ă©quivaut Ă  une absence de motif de licenciement Cass. Soc., 29 nov. 1990, pourvoi n° Ces derniĂšres jurisprudences doivent toutefois ĂȘtre regardĂ©es aujourd’hui Ă  la lumiĂšre des ordonnances Macron et de ses dĂ©crets d’application puisqu’en effet, le dĂ©cret n° 2017-1702 du 15 dĂ©cembre 2017 relatif Ă  la procĂ©dure de prĂ©cision des motifs Ă©noncĂ©s dans la lettre de licenciement a modifiĂ© les articles L. 1232-13 et R. 1233-2-2 du Code du travail. DĂ©sormais, dans les 15 jours suivant la notification du licenciement, le salariĂ© peut, par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception ou remise contre rĂ©cĂ©pissĂ©, demander Ă  l’employeur des prĂ©cisions sur les motifs Ă©noncĂ©s dans la lettre de licenciement. L’employeur dispose alors d’un dĂ©lai de quinze jours aprĂšs la rĂ©ception de la demande du salariĂ© pour apporter des prĂ©cisions s’il le souhaite. Cette possibilitĂ© est Ă©galement ouverte Ă  l’employeur qui peut, dans un dĂ©lai de quinze jours suivant la notification du licenciement et selon les mĂȘmes formes que celles prescrites pour le salariĂ©, Ă  son initiative, prĂ©ciser les motifs du licenciement. Cette possibilitĂ© est ouverte pour compenser une insuffisance de motivation initiale, mais elle ne permet pas de complĂ©ter la motivation initiale. L’employeur ne pourra donc pas invoquer d’autres motif que ceux dĂ©jĂ  mentionnĂ©s dans la lettre. Mais que se passe-t-il si le licenciement d’un salariĂ© est prononcĂ© oralement ? Le licenciement verbal, faute de motif consignĂ© par Ă©crit, est nĂ©cessairement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse Cass. Soc., 23 juin 1998, pourvoi n° sachant qu’il est impossible de le rĂ©gulariser a posteriori Cass. Soc., 6 mars 2002, pourvoi n° ; Cass. Soc., 12 nov. 2002, pourvoi n° ; Cass. Soc., 9 mars 2011, pourvoi n° Juridiquement, les choses sont clairement posĂ©es par la chambre sociale de la Cour de cassation. Mais force est de constater que dans les faits, l’apprĂ©hension des situations n’est pas aussi simple
 Un premier exemple nous est offert par la cour d’appel d’OrlĂ©ans, dans une dĂ©cision en date du 16 mai 2017 15/02759. Dans cette affaire, un diffĂ©rend est nĂ© entre un salariĂ© et sa direction Ă  propos d’une demande d’absence. En effet, le salariĂ© se refusera de se rendre Ă  une foire exposition de sorte que la direction lui demandera de rentrer chez lui quand il se prĂ©sentera Ă  l’entreprise le matin mĂȘme de l’exposition. Pour le salariĂ©, aucun doute il a fait l’objet d’un licenciement oral dans la mesure oĂč le reprĂ©sentant de la direction lui a demandĂ© de rentrer chez lui ce qui s’analysait comme un licenciement verbal que toute rĂ©gularisation ultĂ©rieure ne pouvait abolir. Si un avertissement lui a Ă©tĂ© adressĂ© le mĂȘme jour, celui-ci ne remet pas, pour autant, en cause la mise Ă  la porte dont il a fait l’objet. Non !...lui rĂ©torque la cour d’appel il a Ă©tĂ© demandĂ© au salariĂ© de rentrer chez lui, non pour un licenciement oral, mais par ce qu’il ne s’était pas rendu au salon comme il lui avait Ă©tĂ© demandĂ©. Pour les juges, cette dĂ©cision a Ă©tĂ© prise en raison du pouvoir de direction de l’employeur sans qu’il ne puisse ĂȘtre invoquĂ© par le salariĂ© un licenciement oral et ce, en raison de l’avertissement dont avait fait l’objet ce dernier. Selon eux, cet avertissement signifiait qu’il ne s’agissait pas, dans l’esprit de l’employeur, en renvoyant le salariĂ© chez lui, de sa volontĂ© de l’évincer de l’entreprise. Nouvel exemple offert cette fois-ci par la cour d’appel de Rennes dans une dĂ©cisions du 27 fĂ©vrier 2015 13/02590. Dans cette affaire, une sociĂ©tĂ© motivait le licenciement d’un salariĂ© par son abandon de poste et considĂ©rait qu’il constituait une faute grave. De son cĂŽtĂ©, le salariĂ© invoquait un licenciement oral antĂ©rieur. Le salariĂ© ne s’était, en effet, un jour oĂč il aurait dĂ» embaucher, pas prĂ©sentĂ© Ă  son travail, ce qu’il avait expliquĂ© par le fait qu’il ne s’était pas rĂ©veillĂ©. S’étant prĂ©sentĂ© le lendemain, son employeur l’avait accueilli sur un ton agressif et l’avait renvoyĂ© chez lui, ce qui lui avait fait penser qu’il le licenciait. Ce d’autant plus qu’il se prĂ©sentait Ă  nouveau le surlendemain, mais en retard en raison de sa visite prĂ©alable Ă  l’inspection du travail et n’avait pas Ă©tĂ© admis non plus Ă  travailler par l’employeur. Tout semble indiquer que le salariĂ© avait Ă©tĂ© licenciĂ© verbalement sauf que la cour d’appel de Rennes n’a pas retenu une telle analyse selon les juges, un courrier de l’employeur contredisait la rĂ©alitĂ© d’un licenciement, dĂšs lors qu’il Ă©tait demandĂ© au salariĂ© de justifier de ses absences. Conclusion si la jurisprudence de la Cour de cassation est constante sur l’interdiction absolue du recours au licenciement oral et sur ses consĂ©quences pour l’employeur, il apparaĂźt que dans les faits, les situations sont plus difficilement apprĂ©hendables et relĂšvent d’une analyse au cas par cas
 Si la dĂ©cision de la cour d’appel de Rennes nous semble contestable sur sa motivation, un seul conseil reste toutefois Ă  donner aux diffĂ©rents chefs d’entreprise mĂȘme face Ă  une situation dĂ©licate, faites trĂšs attention Ă  ce que vous dĂźtes Ă  vos salariĂ©s de façon Ă  ce qu’une invitation faite Ă  rentrer chez eux ne viennent pas Ă  s’analyser en un licenciement sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse Ça me paraÃt louche et je voudrais votre avis. Sans entrer dans les détails, je me suis retrouvé mardi au chÎmage technique car le client chez qui je bosse normalement a suspendu toutes les prestations. Pas de possibilité de télétravail, et de toute façon pas de boulot à faire physiquement non plus. Donc, mon employeur m'a dit de rester chez moi, en attendant d'en savoir plus sur le chÎmage partiel soi-disant - paraÃt qu'il doit y avoir un communiqué au Journal Officiel aujourd'hui mon employeur me recontacte pour me demander de poser des jours de congés, prétextant que ce sera plus avantageux pour moi que le chÎmage partiel. Comme je me méfie de mon employeur et comme je suis assez frileux à l'éventualité de poser le peu de congés dont je dispose, j'ai posé quelques questions pour essayer d'éclaircir ses explications vaseuses. Il m'a finalement dit que je pouvais refuser, ce que j'ai fait. Il n'a pas insisté davantage - je pense que je l'ai fatigué avec mes pensez-vous ? Ai-je eu raison de me méfier ? Si oui, pourquoi ?Merci d'avance.

mon employeur me dit de rester chez moi